Une femme apparait à l’autre bout de la salle, vêtue d’une robe sobre, le visage sévère et impassible. Elle n’a l’air ni bienveillante ni menaçante, mais son regard pénétrant sonde Linwë d’une manière qui la met mal à l’aise.

Linwë et le cavalier arrivent finalement au bout du sentier. Devant eux s’étend une immense cour terminée par un imposant bâtiment.

Ils quittent la chasse à toute allure, s’enfonçant dans les sous-bois humides, jusqu’à ce que les cors et les voix s’effacent derrière eux.

Ils quittent la chasse à toute allure, s’enfonçant dans les sous-bois humides, jusqu’à ce que les cors et les voix s’effacent derrière eux.

Tout bascule dans une lumière aveuglante. Pas de chute, pas de cris. Juste ce silence soudain : rapide, dense, irréel. Puis, le bruit revient.

Un cerf immense, blanc comme le givre, passe à côté d’elle. Il bondit, magnifique et lumineux, poursuivi par une meute de chiens nerveux et un groupe d’hommes à cheval.

"Linwë aime marcher pieds nus dans l’herbe fraîche, observer la nature, suivre les sentiers que personne ne prend."

"Linwë aime marcher pieds nus dans l’herbe fraîche, observer la nature, suivre les sentiers que personne ne prend."

"Linwë aime marcher pieds nus dans l’herbe fraîche, observer la nature, suivre les sentiers que personne ne prend."

Je viens de commencé a écrire une nouvelle histoire. L'histoire de Linwë. Et j’ai très envie de vous la raconter. L’univers de Linwé colle parfaitement à celui que j’aime dessiner. C’est un peu comme si cette histoire avait toujours été là, tapie derrière mes pinceaux.